Poème de PB

Moitié de mon âme,
Ce surnom qui te charme,
Il te vas si bien,
Je ne le changerai pour rien.

Je ne peut me sauver,
Sans que mon coeur ne risque de s’arrêter.

Depuis des années,
J'ai tout tenté,
Pour ne plus penser à toi,
Mais mon coeur me dicte se loi.

Ange qui m'attire,
Chaque jour tu me fais souffrir,
Mais je ne peut m’abandonner,
A t'oublier.

Tu ne veux pas de moi,
Mais mon être ne t'écoute pas,
Je ne suis rien,
Mais sans toi encore moins.

Mon amour pour toi est infini,
Et c'est lui qui me maintien en vie,
Ne l'oublie pas,
Tu est tout pour moi...

Ma personnalité,
Me tire vers le bas,
Pendant des années,
Ça a été comme ça,
On m’a détruit,
Non physiquement,
Mais l’on m’a fuit,
Machinalement,
Presque mort,
On m’a sourit,
J’avais eu tord,
Maintenant je vis,
On m’a accepté,
Comme je suis,
Après ma mort,
Ma nouvelle vie.

Un ami,
C'est pour la vie,
C'est la famille que je choisie,
Il a ma confiance infini,
Il sera toujours la pour moi,
On partage tout,
Sans aucun tabout,
On vien s'entraider,
Et l'on renforce notre amitier,
Depuis des années,
On ne c'est pas laché,
Et ce n'est pas près de s'arréter,
Voila,
Pour moi,
Un ami c'est ca,
C'est beaucoup pour moi.

Je déprime,
C'est pas un film,
Je pleure,
Toutes les heures,
Je n'ai qu'un souhai,
Tout arréter,
Être seul,
Presque en deuille,
Et toujous,
Mourir d'amour.

Fille qui m'attire,
Loin de moi tu me fait souffrir,
Mon coeur à tes pied,
Jusqu'à présent ensanglanté,
Rien qu'un regard,
Me submerge d'espoir,
Mais je doute,
Et cela me coûte.

Je me met de côté,
Et je me prend à penser,
Et mon intuition
Enfouit au plus profond,
Me dit d'arréter,
De tout laisser tomber.

Mon chagrin s'emballe,
Et devien total,
Plus rien ne peut le stoper,
Il a ateind sa maturité.

Premiéré pensé,
Sucide discret,
Rapidité et douceur,
Son requis pour le pauvre coeur,
Solution de facilité,
Mais dernière non testé.

Enfin le soulagement,
Demandé depuis si longtemp,
Très bientôt,
L'éternel repo.

Ma Lucie,
A jamais dans la nuit,
Tu occupe mes pensées,
Je ne peut t'oublier,
Je ne peut me reposer,
Sans avoir pu te parler,
Le son de t'as voix,
M'ammène jusqu'à toi.

Nos meilleur moment,
Je les revie infiniment,
Allongé...
A s'embrasser...
Te carrésser...
Les yeux fermés...
Ta respiration...
Toujours en accelération...
Et tes lèvres,
Avec une douceur de rêve.

Yeux d'azur,
Je me perd dans t'es murmures,
A jamais,
Tu m'apparais,
Et pour toujours,
Je meure d'amour,
Je ne peut m’empêcher,
De détourner,
Mon regard de toi,
Qui m'apporte ma joie,
J'ai besoin de t'a présence,
Quelles quand soi les conséquences,
Pourquoi ressentir cela,
Alors que je ne suis rien pour toi...

Lune,
Sphère qui s'allume,
Qui chaques nuit,
Eclaire mon corps presque sans vie,
Cette lumière,
Attire ma vie dans les aires,
Et rejoint le monde des morts,
Qui laisse une ouverture quand je dors,
Je revois touts ceux que j'ai aimé,
Eclairé pas la sphère éternelement allumée,
Quand la lune disparait,
Je revien dans mon enveloppe juste éveillée,
Et par habitude,
D'une humeur peux rude,
Je lève les yeux au ciel,
Et appercois le globe éternel,
Mais parfois...
Je crois...
Que ce n'est pas un rêve...
Et que comme mes pères,
Quand dans la mort lunaire nous irons,
Jamais nous ne reviendrons...